mardi 12 juin 2012

Aux sons de la campagne, au printemps - Ludwig van Beethoven, concerto p...

   

Une fin d'après-midi à la campagne, au printemps... et Ludwig van Beethoven. Concerto pour piano no. 5, Op. 73, "Empereur", Adagio un pocco mosso. Piano : Friedrich Gulda. Orchestre philharmonique de Vienne sous la direction de Horst Stein.

Ce morceau me rappelle souvent l'andante du vingt et unième concerto de Mozart : la même joie calme, la même tendresse toute délicate... qui bien plus qu'à une amourette badine ou une jeune fille élégante, me fait penser à la naïveté presque stupide des animaux à la campagne. De peur que Beethoven se retourne dans sa tombe, j'ai fait en sorte que le coq et les chèvres restent discrets, mais tendez l'oreille, je tenais à ce qu'ils soient là.

Interprétation sans les chants d'oiseaux : http://www.youtube.com/watch?v=8MK9rTvGK-k

Une fin d'après-midi à la campagne, au printemps... et Ludwig van Beethoven. Concerto pour piano no. 5, Op. 73, "Empereur", Adagio un pocco mosso. Piano : Friedrich Gulda. Orchestre philharmonique de Vienne sous la direction de Horst Stein.

Ce morceau me rappelle souvent l'andante du vingt et unième concerto de Mozart : la même joie calme, la même tendresse toute délicate... qui bien plus qu'à une amourette badine ou une jeune fille élégante, me fait penser à la naïveté presque stupide des animaux à la campagne. De peur que Beethoven se retourne dans sa tombe, j'ai fait en sorte que le coq et les chèvres restent discrets, mais tendez l'oreille, je tenais à ce qu'ils soient là.

Interprétation sans les chants d'oiseaux : http://www.youtube.com/watch?v=8MK9rTvGK-k

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