Conférence philosophique avec Pr. Ali Benmakhlouf |
vendredi 30 novembre, 19:00 (UTC) à : Villa des Arts de CASABLANCA |
Conférence philosophique avec Pr. Ali Benmakhlouf Ce soir, le vendredi 30 novembre, 19:00 à la Villa des Arts de CASABLANCA
Cycle de conférences philosophiques avec
Ali Benmakhlouf
Al Fârâbî, de la démonstration à la poésie
Al Fârâbî, de la démonstration à la poésie
La logique est pour Al Fârâbî un art de
penser qui se rapporte aussi bien à la démonstration qu’aux produits de
l’imagination. L’enjeu est de pouvoir reconnaître dans une image un
raccourci de raisonnement et dans la démonstration l’élégance d’une
pensée.
Date : vendredi 30 novembre 2012 à 19h00Lieu : Villa des Arts de Casablanca
Entrée libre. Places limitées.
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Cycle de conférences philosophiques avec Ali Benmakhlouf
Entrée libre. Places limitées
Vendredi 19 octobre 2012 à 19h00: Al Kindî et la vérité comme processus
Selon Al Kindî, la continuité de la recherche de la vérité passe par la connaissance de ce que les Anciens, et en particulier les Grecs, ont pu dire, non pour les répéter mais pour les compléter « en suivant la coutume de la langue et l’usage du temps » autrement dit en contextualisant le savoir acquis.
La confiance mise en la raison comme intellect dispensateur de lumière permet d’examiner les choses en leur vérité sans se demander si cette vérité a été trouvée par telle communauté ou par telle autre.
Vendredi 30 novembre 2012 à 19h00 : Al Fârâbî, de la démonstration à la poésie
La logique est pour Al Fârâbî un art de penser qui se rapporte aussi bien à la démonstration qu’aux produits de l’imagination. L’enjeu est de pouvoir reconnaître dans une image un raccourci de raisonnement et dans la démonstration l’élégance d’une pensée.
Vendredi 28 décembre 2012 à 19h00: Ibn Tufayl, la philosophie comme éveil au monde
A travers un conte philosophique, Hayy Ibn Yaqdhân, Ibn Tufayl construit la fiction d’un enfant retrouvé sur une île et élevé par un animal, une biche. La description des étapes de son développement se fait selon la seule nature.
Dans ce conte, Ibn Tufayl construit un lien entre l’insularité et l’utopie ; c’est bien un regard extérieur sur la société qui permet de l’étudier en toute objectivité.
L’utopie de ce conte n’est pas une façon de contraindre les hommes à vivre comme Hayy, mais de leur donner un instrument de mesure pour apprécier leurs activités quotidiennes.
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