Les voisins dans une petite ville marocaine vivent des vies séparées avec les mêmes cycles de fardeaux et de petites joies. Des épouses et des maris, des mères et des pères, des fils et des filles endurent le deuil quand la mort prend des êtres chers, et quand la vie insiste pour aller de l'avant. Ici, lâcher prise est un défi, à la fois pour les morts et les vivants. Les gens de cette ville partagent le même monde, mais ne savent pas toujours quand ils vivent, chacun, dans la vie de l'autre, s'entraidant et se nuisant mutuellement. Connectés par l'amitié, la proximité et le sang, ils se détruisent et se soutiennent. Par des mariages, des funérailles, des meurtres, le pardon, l'amour, et le sacrifice, les vivants construisent leur petite communauté en s’accrochant à l’espoir. Pendant ce temps, les âmes des morts persistent à veiller sur ceux qu’ils ont laissé derrière
jeudi 14 décembre 2023
مساء هذا الجمعة، موعدنا على الأولى لمشاهدة لو كان يطيحو لحيوط، من إخراج حكيم بلعباس... ♡
Les voisins dans une petite ville marocaine vivent des vies séparées avec les mêmes cycles de fardeaux et de petites joies. Des épouses et des maris, des mères et des pères, des fils et des filles endurent le deuil quand la mort prend des êtres chers, et quand la vie insiste pour aller de l'avant. Ici, lâcher prise est un défi, à la fois pour les morts et les vivants. Les gens de cette ville partagent le même monde, mais ne savent pas toujours quand ils vivent, chacun, dans la vie de l'autre, s'entraidant et se nuisant mutuellement. Connectés par l'amitié, la proximité et le sang, ils se détruisent et se soutiennent. Par des mariages, des funérailles, des meurtres, le pardon, l'amour, et le sacrifice, les vivants construisent leur petite communauté en s’accrochant à l’espoir. Pendant ce temps, les âmes des morts persistent à veiller sur ceux qu’ils ont laissé derrière
jeudi 30 novembre 2023
LES COULEURS DU SILENCE de Asmae EL Moudir ألوان الصمت لأسماء المدير https://www.youtube.com/watch?v=ySrBWSwfspQ
mercredi 15 novembre 2023
La différence entre les "teasers" du maroc et de l'occident de #Abdelinho + une revue de "presse"... :p
La différence entre les "teasers" du maroc et de l'occident de #Abdelinho + une revue de "presse"... :p
voila la bande-annonce marocaine :
https://www.facebook.com/100007300684120/videos/1219983612226680/
et voila la bande annonce de l'occident :
https://web.facebook.com/100007300684120/videos/272193002242659/
on remarque bien la différence dans les scénes ayant relation avec la religion, et les scénes d'enlacement, ainsi que d'autres scénes "osées"... :)
pour la revue de "presse" :
maintenant on va passer aux avis et critiques :
https://www.critikat.com/actualite-cine/critique/abdelinho/
avis défavorable sur imdb :
https://www.imdb.com/review/rw9419161/?ref_=ext_shr_lnk
il parait que selon un utilisateur de imdb qui s'appelle "Wheibi-ae" qui a vu le film 6 nov. 2023, c'est le "Worst movie ever"... :p,
"Abdelinho" is undeniably one of the worst Moroccan movies I have ever come across. With a running time that feels like an eternity, this film is a prime example of a cinematic disaster. From the convoluted plot to the lackluster performances, it fails to deliver on multiple fronts.
The storyline is an incoherent mess, filled with clichés and predictable twists that do nothing to engage or captivate the audience. The narrative lacks depth and originality, relying heavily on tired tropes and worn-out stereotypes. It feels like a patchwork of poorly executed ideas, leaving viewers confused and uninvested.
The performances in "Abdelinho" are equally disappointing. The cast members deliver wooden and unconvincing portrayals, lacking the necessary charisma and talent to bring their characters to life. It's evident that the actors are struggling with poorly written dialogue, which further exacerbates the film's already glaring issues.
Furthermore, the technical aspects of the movie are subpar. The cinematography is lackluster, with uninspired camera work and unimpressive visual aesthetics. The editing is choppy and inconsistent, failing to create a cohesive flow. Even the soundtrack falls flat, failing to enhance the viewing experience or evoke any emotional response.
In summary, "Abdelinho" is a regrettable cinematic endeavor. It suffers from a weak and confusing plot, unconvincing performances, and overall poor execution. Save yourself the disappointment and avoid this film at all costs. There are far better Moroccan movies out there that deserve your time and attention.
avis sur "allociné" :
Guiz Mo
Publiée le 26 octobre 2023
C'est globalement une comédie de mœurs sur la société marocaine tiraillée entre conservatisme et modernité, entre naïveté et archaïsme..bureaucratie et chômage..et sur fond de télévision brésilienne.. Beaucoup d'autodérision...mais l'intrigue nous perd un peu de par sa propre bizarrerie..
En gros, on assiste à l'affrontement de deux camps, deux univers. D'un côté Abdellah, pauvre, fan de télénovelas brésiliennes, avec ses danse et ses couleurs. De l'autre la fascination pour le leader religieux Amr Taleb (riche et profondément névrosé) soutenue par un magnétisme construit sur l'emprise de discours relayés par la télévision, les beaux costumes et l'instrumentalisation de la religion à des fins d'argent, de pouvoir et d'égo..
Le film semble nous dire : il faut préférer le rêve et la liberté à l’oppression et l'obscurantisme des extrémismes religieux. Mais la trop grande évidence et solennité du messages lui donnent un caractère binaire qui tend au ridicule.
Je ressors passablement frustré de ce films dont l'humour trop omniprésent me semble manquer de substance..
traversay
Publiée le 25 octobre 2022
Dans un premier temps, Abdelinho, le quatrième long-métrage de Hicham Ayouch, a tout d'une comédie colorée et gentiment absurde, consacrée au quotidien d'Abdallah, jeune homme d'une petite ville marocaine, qui s'habille aux couleurs du Brésil, son unique passion, donne des cours de samba et fantasme sur une héroïne de télénovela. La candeur d'Abdelinho, puisque tout le monde l'appelle ainsi, fait plaisir à voir et offre des moments de détente sans l'ombre d'une prétention. Tout se gâte avec l'apparition d'un télévangéliste (incarné par l'excellent Ali Suliman) dont la rigueur religieuse et les interdits qui s'ensuivent bouleversent notre "Brésilien" et tout son environnement. Ce que veut dire alors le film est transparent, dénonçant pêle-mêle intolérance, corruption et lavage de cerveau de la population. Que l'esprit de sérieux s'invite dans Abdelinho n'est pas en soi une mauvaise chose mais la transition est brutale, la manière de faire maladroite et tout ce qui apparaissait auparavant comme d'une délicieuse fantaisie naïve plonge largement dans le caricatural. D'autant, qu'en parallèle, l'aspect comédie romantique s'accentue, créant un effet de distorsion guère subtil (le Brésil de Bolsonaro est aussi une cible). Et c'est ainsi que la légèreté et l'originalité d'une jolie fable s'est transformée en un exercice pesant et démonstratif, loin de la savoureuse alliance de la samba et du tajine de ses débuts.
PS : il est interdit au moins de 16 ans... ;)
https://web.facebook.com/photo/?fbid=3518075028445819&set=a.1486520314934644
vendredi 27 octobre 2023
Je regarde en live la "Version Al Aoula" de #BurnOut de @Lakhmari pour voir ce qu'ils ont censuré... ;)
Je regarde en live la "Version Al Aoula" de #BurnOut de @Lakhmari pour voir ce qu'ils ont censuré... ;)
- Nari, c'est trop flagrant ! ils ne savent même pas couper les scénes comme il le faut, et en plus dans le synopsis sur la plaquette d'Al Aoula ( https://web.facebook.com/photo.php?fbid=10231931076636619&set=p.10231931076636619&type=3) o peut lire "M. Faridi, 55 ans, politicien, a perdu son fils dans un accident de voiture. Il essaye de combler son manque de tendresse par les services rémunérés d'une jeune femme", daba comment on va voir ce "manque de tendresse qu'il essaye de combler" si vous le censurez ?
-
jeudi 26 octobre 2023
Je n’en crois pas mes yeux… Al Aoula va diffuser la plus osée des œuvres de Lakhmari !
vendredi 24 février 2023
dimanche 19 février 2023
#CineKhit... Dar le rewind des bobines au fil de "l'histWARtE" du 7 éme "oirt" :p
#CineKhit
Dar le rewind des bobines au fil de "l'histWARtE" du 7 éme "oirt" :pRendez vous prochainement sur KLarté
https://www.facebook.com/KLarteMaroc/
Disclaimer : attention, nous déclinons toute responsabilité suite aux conséquences "hallucinogénique", nausées, torticolis, maux de tête, fourmillement, et / ou crampes qui pourraient être liées à la lecture de ce texte ci dessous... Maintenant vous êtes averti ! xD
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Dés ma plus tendre enfance,et bien avant mon adolescence j'adorais les jeux de mots ( ou "jeux de maux" ;) ) et j'adorais appeler "Entr'Acte", une émission radio (avant la haca, la snrt, et la libéralisation des ondes) qui passait sur #RabatChaineInter (ou "Rabat Chéd L'anterre" comme le disait Feu Noureddine Karam) chaque dimanche entre 23h et 01h du matin, animée par le grand, le fameux, le légendaire, le culte, l’encyclopédique, le mentor de toute une génération, l'érudit, et passionnant Mohamed Alouali AKA Ali Hassan ! <3 qui animait déjà CinéJeudi ou Cinema AL KHAMISS sur Al Aoula ex TVM/RTM ( ou "ithm" :p ), et comme la célèbre Sanaa Tabit AKA Miss Astro qui parlait chaque semaine d'astronomie, je commençais moi aussi malgré mon trés jeune âge à devenir le "Mister techno" hebdomadaire qui parlait des #TIC, à l'époque on disait NTIC, et puisque l'époque n'était pas trop au chaines satellitaires, avant ARTE : c'était Ali Hassan ma source cinématographique. Et ainsi, un jour des auditeurs et des auditrices lui avouaient qu'ils enregistraient sur VHS ses chroniques hebdomadaires chaque jeudi, et moi aussi je voulais lui faire part de mon admiration :* mais je voulais être original, au risque même d'être "hhamd" (du mot "hhoumouda" / "acidité" du citron), et je lui ai dis :
- "moi aussi je #CineKhit" <3
- cinekhit ?
- c'est une homophonie entre Phile et Fil en arabe
- oh mon dieu, que c'est lourd !
- je savais que ça allait être lourd, mais je ne pouvais pas m'en empêcher :p
- tu aurais pu être plus lourd en disant "CineElephant", non ?
Et on éclate de rire tout les deux ! :D
NB : je lui passe mes plus chaleureuses salutations, mon amour, et mon plus grand respect ! Merci pour tout, mon cher Ali Hassan... O:)
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Je ne sais pas pourquoi, je n'ai jamais oublié ça, mais au moins ce souvenir a survécu jusqu'à ce qu'il soit publié et partagé avec vous :)
Bon, voila :
* CinepHile : c'est la où je vais vous parler de la "pile" de films francophones que j'ai "ingurgiter" le long de ma modeste existence et Phile ça vient du grec ancien φίλος, phílos (« ami, personne qui aime »). Note : ce suffixe est sorti d’un usage savant pour former des mots du domaine quotidien → voir cartophile, cinéphile, discophile etc...
* CineFeel : du mot anglais "sentiment", c'est la rubrique des gros films à succés, des films perdus au fond d'un tiroir, des films d'une contrée lointaine, des mega films, un soupçon de Hollywood lors des rares fois où ils arrivent à ne pas faire de films commerciaux, de quelques déceptions, de quelques coup de coeur, mais en tout cas, il va y avoir du film anglo-saxon et des films de partout dans le monde..
* CineFil : du cinéma, des téléfilms, des films modeste marocains, des pays darijophone (Maghreb), l'immense richesse culturelle et la profondeur de certain beaux films amazighs de chez nous et de chez nos fréres en amazighité, et du film arabe quand ça m'intéresse....
* CineElephant : Les films marocains et maghrébins qui pèsent "lourd" à l'étranger...
PS : J'ai choisi l'éléphant de La Confiserie Marocaine Macao car il est emblématique de toute la mémoire collective marocaine, et des souvenirs plein de gourmandises, et pour le deuxième éléphant, c'est un clin d'oeil à Bollywood,et c'est aussi un éléphant qui a dans son dos, la carte du maghreb :D
PS2 ; Pour la phrase du début, c'est ma petite version virtuelle clin d'oeil à "Be Kind Rewind" et les séquences #Suédées, où on rembobine au "khit" du clin d'oeil au "logiciel" et la prononciation de l'accent belge du mot "histoire" et bien sûr le "7éme oirt" car "art" mchate m3a "histoART"...